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Dernière modification le 07/05/2008 à 17:28


Les nordistes chutent en quarts
26 Juin 2004 / La voix du nord

Le favori de l’open de l’Arbonnoise a répondu présent. Champion de France en titre, Grégory Gaultier se pose en candidat numéro un à sa propre succession.
Mais, malgré quelques pépins, le finaliste malheureux de la dernière édition, Stéphane Galifi, persiste et veut sa revanche.

Chez les dames, la Belge Charlie de Rycke s’est qualifiée pour les demi finales. La cinquantième mondiale élimine la numéro seize francaise Camille Serme. Sur sa route pourrait se dresser l’autre Belge Annabel Romedenne.

Pourtant, les Francaises n’ont pas dit leur dernier mot ! Il faut compter en partie avec Maud Duplomb, vainqueur de Sue Williams.

Quant aux Nordistes, Charlotte Delsinne est tombée face à une Soraya Renai pleine de ressources, et Gregory Lecerf ne put rien contre le tenant du titre.
Julien DUBOIS.

Gregory Gaultier… et les autres
25 Juin 2004 / La voix du nord

Avant une prochaine quoiqu’hypothétique reconversion dans le théatre, jean francois NICIEJEWSKI, s’apprête à nous servir trois jours durant le cinquième Open international “supermarchés Match” de l’Arbonnoise hommes et femmes.

Une pièce en trois actes pour les hommes (deux tableaux régionaux et un tableau PSA, première et deuxième série), contre un seul et unique chez les femmes, où quelques Françaises parmi les vingt-six protagonistes entendront bien marquer des points en vue des sélections pour les prochains championnats du monde par équipes.

Cet Open 2004 à forte consonance européenne cette année (une dizaine de Belges, autant d’Anglais) donnera, chez les hommes, l’occasion à Grégory Gaultier de remettre une énième fois son titre en jeu.

Après trois victoires d’affilée, dire que le numéro deux français et dix mondial est favori relève de l’euphémisme. Les férus se souviendront néanmoins que le rouennais Stéphane Galifi lui avait vendu chérement sa peau l’an passé, ne rendant les armes qu’en cinq manches à un adversaire “rincé” par une grosse saison. Galifi a pris date et il est annoncé cette année.

Côté femmes, la Belge Charlie De Rycke (engagée à l’Arbonnoise en interclubs) tâchera, à défaut d’évoluer dans son pays, d’être prophète en son… club. Une perspective qui n’aura rien d’une sinécure pour la championne d’Europe juniors au regard du tableau.

Enfin, les régionaux de l’étape (Lecerf, Degezelle, Rigaut, Ryckeghem, Diot, Delsinne, Demeersman, etc…) auront une carte à jouer, qui plus est l’esprit complètement libéré puisque les interclubs ont rendu leur verdict il y a trois semaines déjà…

Gauthier CATTEAU.

Grégory Gaultier : le cœur à l’Arbonnoise
Juin 2003 / La voix du nord

Grégory Gaultier aime l’Arbonnoise et le club villeneuvois le lui rend bien. Vainqueur de l’open international supermarchés Match pour la troisième fois en autant d’années, il doit y puiser sérénité et bien-être…

En triomphant d’un ultime combat livré à son partenaire d’entraînement d’Aix-en-Provence, Stéphane Galifi, il affichait pourtant après sa victoire la mine déconfite d’un joueur « lessivé » physiquement et nerveusement. La faute à une finale rendue âpre par ses conditions (chaleur, humidité) et son contexte.

«Après un bon open du Qatar (il y a notamment battu le n°5 mondial Boswell), j’ai fait un break de deux semaines et je ne suis pas venu à l’Arbonnoise dans une grande forme physique. Cela dit j’aime bien venir ici’, faire plaisir aux gens. Mais place désormais au repos jusque août, d’autant que j’ai mon quota de tournois PSA (circuit pro) pour garantir mon classement. »

Il faut dire que Stéphane Galifi et ses grands « compas » n’ont pas facilité la tâche du n°2 français, le poussant dans ses retranchements en finale (3-2). Galifi, qui avait créé la sensation le matin-même en mettant l’Australien Kneipp sous l’éteignoir en demi-finale, est en effet un joueur doué, mais imprévisible, donc dangereux.

Le rouleau compresseur Gaultier en est cependant sorti vainqueur et s’en expliquait succinctement : « Ma stratégie était d’appuyer mes coups et de mettre du poids dans la balle car Galifi sait bien contrôler le jeu. Lui et moi sommes sensiblement du même niveau ; ce genre de Match se joue à pas grand-chose. »

Une explication relayée par l’analyse de Jean-François Niciejewski, directeur technique de l’Arbonnoise :

«A ce niveau la tactique de Gaultier a été d’utiliser sa puissance pour fatiguer GalifI, lui faire mal, le pousser à la faute pour finalement le faire craquer. »

De la graine de chroniqueur chez Jean-François Niciejewski ? Assurément… Mais aussi de la graine de travailleur. Car un open d’une telle dimension, c’est un marathon de trois jours pour lui et son staff…

Hommage à une équipe rompue à, cet exercice bisannuel et qui a su jouer les « «rabatteurs » pour appâter une colonie australienne basée à Amsterdam.. et dont les cinq représentants. (dont Nathalie Grinham, vainqueur du tableau féminin face à la Belge Romedenne) ont contribué à faire du plateau de l’Arbonnoise le meilleur de France.

Un regret toutefois : le public… un peu clairsemé.

Gaulthier CATTEAU

Grégory Gaultier dans son jardin
Juin 2003 / Voix du nord

Pratiqué du haut niveau, le squash “est une discipline qui, en principe, ne s’autorise que très peu de- surprises. L’édition 2003 de l’open international de l’Arbonnoise a pourtant, une fois n’est pas coutume, dérogé à la règle.

Victime du jour, et non des moindres, la tête de série n°1 du tournoi, l’Australien Joe Kneipp (11e joueur mondial), battu à la régulière en demi-finale (3-1) par le Français Stéphane Galifi (5° joueur… français), excusez du peu !

bonne « perf », mais pas réellement une surprise quand on sait la valeur intrinsèque de Galifi, dont le coup d’éclat lui permettait de rééditer sa performance de l’an passé (finaliste). Pour faire encore mieux, il fallait venir à bout en finale de son bourreau de 2002, le double tenant du titre à l’arbonnoise, Grégory Gaultier (16e mondial, n°2 français), lequel n’avait pas lambiné en demi-finale pour renvoyer le hollandais Berden (39e mondial) à ses chères études en trois sets secs.

La finale, très décousue –chaleur et humidité oblige- ne s’engageait pas sous les meilleurs auspices pour l’Aixois, lequel offrait trop de points à un adversaire qui n’en demandait pas tant (1-9). Galifi se- faisait violence dans la deuxième manche, faisant la course en tête pour égaliser (9-6) mais, par trop nonchalant, retombait dans ses travers dans la troisième (2-9).

Dans la quatrième manche, la fatigue produisait son effet sur les joueurs, physiquement pour Galifi, nerveusement pour Gaultier qui craquait 9-2. Mais dans l’ultime set, le tenant du titre se reprenait et passait la surmultipliée pour terrasser un adversaire plus vraiment dans le coup (9-1), assommé par le métier, la puissance et le travail de sape du n°2 français.

Un métier et une puissance dont l’Australienne Nathalie Grinham a su faire montre en finale du tableau féminin face à la belge Anabelle Romedenne ; cette dernière, pas avare de ses efforts, en fut quitte pour une visite guidée et express des quatres coins du court n°3 du club villeneuvois. On appelle çà faire le « satellite », l’occasion de mesurer l’espace qui la sépare encore du plus haut niveau…

Gauthier CATTEAU

Premier Open MATCH Lille métropole
Juillet 2000 / La voix du nord

David Bianchetti sans surprise.

Le premier Open MATCH Lille métropole de squash, organisé par le club de l’Arbonnoise a vu la victoire du sociétaire du club villeneuvois l’Italien David Bianchetti.

Le numéro un italien, 42e joueur mondial, David Bianchetti, sociétaire de l’Arbonnoise a remporte logiquement ce tournoi international qui a vu la participation de cent joueurs venus de toute la région, de Mulhouse, de Belgique et d’Italie.

David Bianchetti s’est imposé 3-0 face au vice-champion de France, 70e mondial Jean Michel Arcucci. Laurent Elriani n°5 français 150e mondial, Yuri Deltenno, 10e joueur français ; C. Labit 13e joueur francais ; Gilles Roger N°3 belge et Andrea Bianchetti, international junior ont également contribué au succès de cet événement organisé par Michel Cruz, Directeur de l’Arbonnoise et Jean-François Niciejewski, directeur technique avec l’aide de la CUDL pour la partie logistique et de la ville de Villeneuve d’Ascq.

Chez les féminines, la finale villeneuvo-villeneuvoise a vu la victoire de Charlotte Delsinne (3-2) face à Virginie Diot.

Un Open à la sauce italienne
Juin 2000 / La voix des sports

Le squash est une discipline spectaculaire dans le jeu, mais rarement dans les épilogues. Dès lors, quand vous invitez le 40e joueur mondial pour un tournoi, rares sont ceux à pouvoir lui contester La victoire finale.

L’édition 2000 de I’Open de l’Arbonnoise n’a pas fait exception à Ia règle. AInsi, l’Italien Davide Bianchetti, assimilé numéro deux français (et pensionnaire de l’Arbonnoise cette saison en interclubs), n’a pas dû forcer son talent pour s’adjuger l’Open villeneuvois ; et seul le jeune Labit, en demi-finale, eut l’occasion de faire trembler le grand Italien (3-2).

Mais si certains joueurs, du niveau mondial, paraissent intouchables, d’autres ont pu néanmoins briller à l’occasion de cet Open ; en effet, pour des raisons d’homogénéité des niveaux et - surtout - d’organisation trois tableaux avaient été dressés. Le gratin dans le tableau A, les autres protagonistes repartis dans les tableaux B et C.

Le tableau B a donné l’occasion aux spectateurs nombreux et attentifs de mesurer l’étendue des progrès du villeneuvois Romain Degezelle battu de justesse en demi-finale par le Strasbourgeois Yann Perrin (3-2), le jeune espoir de I’Arbonnoise n’a certes pas réussi à vaincre Ie signe indien face à son adversaire (4 défaites en autant de rencontres), mais il a affiché de belles promesses et a ainsi confirmé que ses places de demi-finalistes cette année aux Open de France et de Suisse n’avaient rien d’usurpées.

Quant aux autres satisfactions du club de Michel Cruz, elles viendront de la bonne tenue d’ensemble de tous ses jeunes, qui ont eu, le temps d’une compétition, l’occasion de s’étalonner face à des adversaires de haut niveau, et ainsi de mesurer l’étendue de leurs progrès, mais également du chemin qui leur reste à accomplir.


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